Qui veut la peau du monde combattant ?

Dans la perspective du 11 novembre, la presse titre sur la disparition des anciens et sur le fait qu’il y a de moins en moins de monde aux cérémonies… Les élus, qui multiplient paradoxalement les commémorations 1, alors qu’il faudrait les concentrer sur une date
emblématique, s’inquiètent de ne plus avoir de porte‐drapeaux et cherchent par tous les moyens 2 à les remplacer par les enfants des écoles… De leur côté, les politiques, pourtant conscients de cette situation, continuent à osciller entre repentance et pacifisme bon teint pour satisfaire les humeurs versatiles de l’opinion… Tout ceci interpelle sur ce qu’est devenu le monde combattant, sur son avenir immédiat, mais aussi sur la responsabilité des armées et de nos institutions quant à cet état des lieux, voire, plus inquiétant, sur les risques d’instrumentalisation du devoir de mémoire. Pour lire l’article dans son itégralité, cliquez ICI.

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